Chronique

La procrastination est la tendance à remettre à plus tard une tâche prioritaire que l'on sait devoir accomplir maintenant. Pourquoi est-ce si important de s'en sortir? Parce que de plus en plus de gens la vivent comme un véritable problème personnel. Ainsi, selon une étude réalisée en 2010 par le Dr Piers Steel auprès de 4 000 personnes, 95 % des gens avouent procrastiner à l'occasion et 25 % d'entre eux (soit une personne sur quatre) indiquent que cela est une tendance nette et chronique, comparativement à 4 % en 1970.

C'est un fait : le gaz naturel et l'eau étaient tous deux là avant l'homme. Autre fait avéré, l'exploitation de l'eau a débuté avant parce qu'elle était visible par l'homme.

Je ne crois rien vous apprendre en mentionnant que le monde a besoin d'énergie, et que ce même monde a besoin d'eau. La population mondiale augmentant, les besoins en eau et en énergie augmentent eux aussi.

Le patrimoine interpelle de plus en plus les citoyens et les municipalités sont davantage sensibles à sa préservation et sa mise en valeur. D'ailleurs, plusieurs d'entre elles ont adopté des mesures réglementaires, mis en place des programmes de subvention et sensibilisé les citoyens à la protection du patrimoine bâti (bâtiment d'intérêt, bien culturel, site du patrimoine, etc.). Mais qu'en est-il du patrimoine naturel?

En 2011, les tribunaux administratifs ont eu l'occasion à plusieurs reprises d'interpréter l'article 2895 du Code civil du Québec (ci-après : « CCQ ») dans le cadre de litiges reliés aux relations du travail. L'objectif de cette disposition est de ne pas priver une personne d'un recours qu'elle a exercé devant la mauvaise instance en lui accordant un délai supplémentaire pour l'exercer devant « le bon tribunal ». Pour l'instant, il n'y a pas de consensus sur l'interprétation de l'article 2895 CCQ. Cependant, la Cour d'appel devrait bientôt se prononcer dans l'affaire P.G. du Québec c. Syndicat des professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec[1].

À la suite de l'adoption de la Loi sur les contrats des organismes publics (1) et de la réglementation en matière de contrats d'approvisionnement (2), de services (3) et de travaux de construction (4), ainsi que des modifications apportées aux lois visant le secteur municipal, plus particulièrement en 2010 (5), on aurait pu penser que les prochains développements dans l'activité contractuelle de l'État proviendraient de la mise en oeuvre de ces nouvelles dispositions et de leur sanction par les tribunaux.

Dans une récente affaire de la Cour suprême du Canada, Syndicat de la fonction publique du Québec c. Québec (ci-après « l'affaire SFPQ »), les juges majoritaires ont emprunté la voie du concept juridique de la « hiérarchie des sources du droit du travail québécois » afin d'apporter une solution au litige : l'arbitre de griefs a-t-il la compétence pour se saisir d'un litige dans lequel un salarié invoque comme remède l'article 124 de la Loi sur les normes du travail (ci-après « L.N.T. »). Il faut comprendre qu'un employé syndiqué a l'obligation d'utiliser la procédure de grief prévue à la convention collective. Qu'en est-il si la convention lui dénie le droit de faire un grief en cas de cessation d'emploi? Le salarié qui a plus de deux ans de service continu peut-il contourner cette clause de convention collective et alléguer l'application de l'article 124 L.N.T.?

Par Louise Manuri

Toutes les recherches sur l'intelligence émotionnelle démontrent que ce qui contribue le plus à la réussite professionnelle d'un individu réside non pas dans son quotient intellectuel (QI) mais dans son quotient émotionnel (QE).

De nos jours, le progrès est rapide dans tous les domaines. Cette évolution, couplée à la nécessité de toujours faire mieux et d'offrir de meilleurs services, est propice à l'apparition de nouveaux risques.

Face à la hausse vertigineuse des valeurs foncières des dernières années, les administrations municipales sont confrontées à un double défi : réduire l'impact pour le contribuable et assurer une taxation équitable.

Les employeurs doivent souvent jongler avec les contraintes occasionnées par les obligations parentales de leurs employés dans la mesure où celles-ci sont susceptibles d'influencer leur niveau de disponibilité et leur prestation de travail. Bien que les tribunaux québécois aient généralement considéré qu'un employeur n'avait pas à accommoder un employé en raison de ses obligations parentales, il en est tout autrement au sein des tribunaux canadiens.